Générales

Nom :: ///
Prénom :: Léonidas ( Λεωνιδας en grec ancien )
Surnom :: Pourquoi un roi de Sparte doit-il avoir un surnom ?
Âge :: 37 ans
Genre :: Homme
Royaume de naissance ::
Royaume habité :: Sparte
Race :: Humain
Rang :: Roi
Orientation sexuelle :: Hétérosexuel


Physiques
Description physique ::
Léonidas est un spartiate, un guerrier robuste, au corps d’athlète.
Dès la naissance, les nouveaux nés sont auscultés par le roi. S’ils présentent la moindre imperfection –maladie, malformation- ou si le roi estime que l’être n’est pas capable de devenir un redoutable guerrier sans peur et sans remords, le nouveau né est aussitôt jeté du haut du Mont Taygete. C’est pour cela que Léonidas, ayant été choisi dès la naissance, incarne le physique parfait : Une ossature résistante à d’innombrables coups, une musculature solide au terme d’un intense entraînement physique composée d’une parfaite chaîne abdominale, de magnifiques et puissants pectoraux ainsi que d’un sterno-cléido-mastoïdien parfaitement développé.
Ses yeux, ses sourcils et ses cheveux sont aussi noirs que le Tartare. Sa chevelure ébouriffée jusqu’à la nuque rappelle la crinière d’un lion fier et puissant. Sa barbe touffue se dessine du menton jusqu’aux oreilles en faisant un léger détour par le détroit de sa moustache. Ce sont sa barbe et son regard sévère qui renforcent son côté impitoyable.

Description psychologique ::
Léonidas est sévère mais juste. Il sait parfois se montrer féroce et sanguinaire comme il peut être humain et civilisé. Léonidas est laconique ; il va droit au but. Toutefois, il lui arrive d’être bavard sur certains sujets. Il adore parler de musculation et de ses récits de guerre. Par contre, il n’est pas très patient. Etant roi de Sparte, il peut parfois se montrer « diplomatique » si nécessaire. Cependant, il ne faut pas abuser d’un Spartiate, il peut mal vous le rendre !

Léonidas atteint l’excellence, autant sur le plan physique, du combat au corps à corps que sur le courage et la volonté de vaincre. C’est pour cela qu’il se montrera sans pitié contre quiconque se dresserait sur son chemin. Il n’est pas facilement impressionnable. Il est en perpétuelle recherche d’un ennemi à sa hauteur. Il ne reculera jamais et fera face à son adversaire jusqu’à la mort. Par contre, si l’ennemi est trop faible pour lui, il laissera ses alliés s’en charger et ne prendra même pas la peine de s’intéresser à leur sort.


Historiques
[i]Histoire ::
Léonidas a été, tout comme les autres spartiates, examiné du haut du Mont Taygete par son père dès la naissance. S’il avait été frêle, pleurnichard ou s’il avait présenté une quelconque malformation, il aurait été jeté du haut du Mont.
Pour former les plus grands guerriers, l’éducation spartiate était d’une sévérité exemplaire. L’enfant a été formé très jeune à l’art du combat. Son père lui a appris à toujours tenir tête à son adversaire et ne jamais abandonner. Un Spartiate doit tout faire pour défendre sa cité et ses habitants. Chaque homme, femme, enfant spartiate est un défenseur de Sparte. Il doit combattre avec honneur et courage jusqu’à son dernier souffle. D’ailleurs, la mort sur le champ de bataille est le plus merveilleux des honneurs qu’un Spartiate peut obtenir.

Dès son plus jeune âge, le jeune garçon a été plongé dans la violence et la chaleur ardente du combat. L’Agogae (Agogée) était une épreuve de force qui consistait à sélectionner les éléments destinés à être les plus grands guerriers du monde en arborant la bannière des Spartiates. La première épreuve commençait dès l’âge de huit ans. Elle obligeait les enfants à se battre jusqu’à la mort pour déterminer le plus fort d’entre eux. Durant cette période, ils n’étaient pas nourris, ce qui les forçait à lutter pour leur survie et à en finir le plus vite possible.

Au cours de l’épreuve, Léonidas dut combattre contre trois de ses anciens camarades. Les trois jeunes garçons étaient armés de bâtons pointus. L’un d’eux s’avança timidement, puis d’un coup, fonça aveuglément sur Léonidas. Mais celui-ci n’éprouvait aucune pitié envers ses adversaires. Il stoppa la charge du jeune garçon par un violent coup de pied dans le ventre, pris son bras, puis le désarma et l’assomma enfin avec un coup de poing à la mâchoire. Les deux autres accoururent alors vers lui. Il esquiva le coup du premier, puis balafra le second avec la pointe de l’arme prise sur celui qu’il avait désarmé. Il désarma alors le second puis lui enfonça son arme dans le ventre. Pendant que l’autre tentait de l’attaquer par derrière, il prit le camarade qu’il venait d’embrocher et le retourna contre le second qui fut surpris de ne pas trancher son ennemi mais son allié. Puis Léonidas donna un coup de pied dans les deux garçons qui furent projetés à terre sur le troisième, ce qui le réveilla aussitôt et lui fit prendre la fuite. L’un d’eux le rejoignit, l’autre resta à terre, immobile et sans vie.


C’est à ce moment là que Léonidas, sorti victorieux de la première épreuve, se démarqua des autres et fut sélectionné pour faire partie de la grande classe des soldats d’élite. Avec d’autres élus, il dut subir un entraînement plus intense que la plupart des soldats. Il apprit à manier tout type d’arme, de ses propres mains comme de la lance. Son maître, qui n’était autre que son père, lui enseigna la lutte grecque et l’athlétisme, disciplines dans lesquelles le jeune enfant excellait. La philosophie, les mathématiques, l’anatomie et d’autres cours lui furent également enseignés par les plus grands érudits de Sparte.


A 16 ans, il dut affronter la dernière épreuve de l’Agogée qui allait déterminer à jamais son destin. Il fut isolé de la Cité et dut survivre durant 30 jours et 30 nuits. Son périple devait le conduire près des Terres Arides, un territoire isolé où nul homme n’osait s’y aventurer, car y régnait la plus affreuse des créatures mythologiques ; le Warwick. C’était une bête féroce montée sur 2 pattes, dotée d’une force et d’une agilité exemplaires. Du haut de sa tête de loup, le long des écailles de son corps de lézard se terminant par une longue queue en pointe ; tout inspirait le dégout et l’épouvante chez cette abomination. Son haleine fétide brulait les poumons de quiconque osait s’en approcher. Ses yeux d’un pourpre profond vous glaçaient le sang. Ses griffes acérées avaient déchiqueté tellement de corps qu’ils avaient la couleur chaleureuse du sang de leurs victimes. Les Spartiates les plus courageux arrivaient à survivre suite à sa rencontre. Les autres étaient massacrés et dévorés.

Le jeune homme se promenait dans la forêt. Il savait qu’il était sur le territoire de son ennemi et que celui-ci l’observait. Il ne dormait que d’un seul œil, écoutant les hurlements déchirants du monstre. Puis, au bout du cinquième jour, il vit enfin son ennemi surgir d'un buisson. La lune apparut derrière les nuages, éclairant la scène de sa lueur blanchâtre, fantomatique. Les deux êtres se regardèrent droit dans les yeux, immobiles. Léonidas était effrayé par l’horreur qui se tenait devant lui et ressentait cette peur dans tout son être. Mais il avait appris qu’accepter cette peur le rendait plus fort.



C’est alors qu’après avoir tant observé sa proie, le prédateur attaqua. Il bondit sur Léonidas qui se protégea avec sa lance, puis le repoussa. L’affrontement qui s’en suivit fût d’une violence inouïe. Durant 8 jours, les deux êtres se vouèrent à une lutte sans merci.
Au bout de 5 jours, il avait épuisé toutes ses provisions. Le jeune homme s’épuisait de plus en plus, ne dormant quasiment jamais, il buvait l’eau putride de la rivière traversant la jungle. Constamment traqué par la bête, il ne trouvait pas de cachettes pour récupérer des blessures infligées entre chacun des affrontements. Il devait en finir le plus vite possible. Quand la lune apparut pour la 7ième fois, le jeune Spartiate fut décider à ne plus se cacher et à tout donner dans cette ultime bataille. Il hurla de toutes ses forces pour le faire savoir à son ennemi. Son rugissement fut entendu par la bête, et celle-ci rétorqua par un hurlement tout aussi puissant. Et lorsque leurs regards se croisèrent à travers les arbres, ils foncèrent l’un sur l’autre. Le jeune Spartiate pointait sa lance vers le monstre qui attrapa celle-ci par le manche et, avec le guerrier à l’autre bout, les balança dans un arbre. Léonidas se cogna violemment contre le tronc mais le casque lui empêcha de perdre conscience. Et aussitôt mis sur pied, il dégaina rapidement son glaive et entailla le monstre qui était sur le point de l’embrocher. La bête hurla de douleur. Le jeune guerrier en profita pour récupérer sa lance. Il se protégea de quelques coups de griffes à l’aide de son bouclier, puis enfonça sa lance dans le deltoïde gauche de la créature. Il voulut de suite la retirer mais la lance était profondément enfoncée et Léonidas ne vit pas la queue du WarWick qui le frappa dans l’estomac, le projetant brusquement en arrière. En voulant se relever, il prit une violente griffure dans le dos. Pour se dégager de la bête, il faisait de grands mouvements avec son glaive afin de tenir à distance la créature. Une fois debout, il repartit à l’assaut… Le combat des deux êtres était acharné.
Au matin du dernier jour de l’Agogée, le jeune Léonidas se tenait debout devant son ennemi, le souffle haletant, en train de récupérer des multiples blessures de ce terrible combat. Son adversaire se dressait devant un arbre, il ne bougeait pas. Aux pieds du monstre gisait le glaive du Spartiate baignant dans le sang, et à coté du glaive, la tête du monstre. La lance de Léonidas étant plantée dans le torse de la bête sans vie, ce qui le fixait à l’arbre.

Quand le garçon revint à la cité de Sparte avec la tête du WarWick sous le coude, il fut acclamé de tous et le peuple entier reconnut la valeur de Léonidas qui n’était pas revenu en tant qu’Homme mais en tant que véritable guerrier de Sparte. Et devant le formidable courage dont il a fait preuve, le jeune Homme fût couronné Roi de Sparte.
Depuis ce temps, Léonidas conduisit l’armée de Sparte à travers de nombreuses batailles épiques. La cité de Sparte connut une époque glorieuse et florissante. Aux cours des batailles, le Roi acquit une grande confiance aux côtés de ses compagnons de combat. Il apprit à reconnaître la valeur de ses guerriers et au combien il était aussi important d’assurer sa propre vie que celle de n’importe lequel de ses combattants.
Fonction :: Roi de Sparte

Relationnelles
Parents :: Anaxandridas II, son père.
Frères :: Dans l'ordre, Cléomène Ier (demi-frère), Dorieus (aîné) & Cléombrote (cadet)
Autres :: Gorgô, épouse de Léonidas et fille de Cléomène Ier. Pleistarchos, son fils.

Joueur
Prénom :: Jimmy
Âge :: bientôt 15
Région :: Auvergne
Expérience RP ::
Comment as-tu connu le forum :: Je connais les membres du staff !!!!
Présence :: Quand je suis sur mon ordi
Code Règlement :: ...

Tu est validé ^^

Bienvenue roi de Sparte !

Je valide définitivement ta présentation (fonction = vérifiée) et je Lock

Bienvenue à toi